Pure Audio, élégance et véracité sont ses maîtres mots
Celle-ci va prendre place aux cotés de nos références actuelles, excusez du peu.
Loin des standards commerciaux, le slogan de la marque “More Music, Less Technology” est même à l’opposé de l’offre actuelle. Pas d’entrées numériques, pas de prises XLR, mais un appareil sobre et simple et oh combien musical.
Pure Audio est une marque Neo-Zélandaise récente mais ses concepteurs ont de la bouteille et ne sont pas des novices. Gary Morrison a développé et conceptualisé quelques produits phares chez. Plinius dont il était co-actionnaire. Ross Stevens est le designer à qui l’on doit les superbes lignes en aluminium chez Plinius.
La gamme se compose de trois produits. Le modèle phare de la gamme est le préamplificateur Pure Audio Control Preamplifier complété des blocs monophoniques Pure Audio Reference class A et du préamplificateur phono Pure Audio Vinyl Phono Preamplifier. Ils ont tous un schéma double mono gage d’un silence de fonctionnement optimal et dépourvu de toute perturbation.
Que dire de la finition du tout premier ordre, les électroniques sont constituées de deux épaisses plaques d’aluminium pliés pour la base et le capot. La partie supérieure à été volontairement découpée permettant une aération optimale et constituant un dessin post moderne. Ils sont tous découplés par trois pieds constitués d’une résine propriétaire, gage d’une parfaite isolation mécanique.
La connectique est très dépouillée et elle ne se contente que de l’essentiel avec. En façade on trouve uniquement un très gros potentiomètre de volume qui place l’appareil en veille et qui dispose d’un gain de 32 pas. La sélection d’entrée est automatique grâce à la détection du signal d’entrée.
Mais venons-en au point le plus important: le rendu sonore. Inutile de vous dire que nous sommes tombés sous le charme et qu’il trônera désormais fièrement au sein de notre auditorium, et ce pour longtemps.
Voici un petit compte rendu d’analyse sonore fait par le magazine français Audiofederation:
Analyse sonore
En vingt ans de carrière, nous avons eu l’occasion d’écouter bon nombre de préamplificateurs de ce calibre, et nous avons donc pu resituer aisément ce Pure Audio dans ce contexte. Il s’agit là d’un produit de grande qualité. Sa caractéristique sonore fondamentale est justement de n’avoir aucune caractéristique sonore. Voilà pourquoi notre rubrique « positionnement hiérarchique » prend ici tout son sens ; on cerne en effet beaucoup mieux ce type de produit en le comparant à ses semblables. Sachez cependant que le Pure Audio est un préamplificateur qui déploie une bande passante large, et cela sans atténuation dans l’extrême grave comme dans l’aigu. Nous avons pu nous en rendre compte à l’aide de l’excellent disque d’orgue « Récital Bach – Pierre Méa » chez Ad Vitam Records. L’extension dans le bas du spectre est bien nette, et elle s’accompagne d’un luxe de détails qui rend l’écoute beaucoup plus réaliste. Tous les bruits de fonctionnement de l’instrument, les inflexions des basses octaves, les subtilités du jeu de l’organiste s’entendent aisément. Dans le haut, les micro-informations émergent avec simplicité, et sans effet de simplification. Ces multiples composantes participent à la reconstitution d’une image réellement tridimensionnelle. La prise de son, sobre offre une vision fluide d’une œuvre difficile. Et cela, le préampli Pure Audio permet de l’exprimer totalement.
Positionnement hiérarchique
Nous avons écouté le préampli Pure Audio à l’aide d’une source numérique Orpheus (transport Zero / convertisseur One SE), de deux amplis de puissance (blocs mono Pure Audio et ampli stéréo Plinius SA 103) et des enceintes Leedh C. Câblage intégral Acoustic Zen. Inutile de dire que ce système dénote un degré élevé de résolution. Mais surtout, nous avons eu l’opportunité de comparer le Pure Audio à de remarquables concurrents : le Cello Encore, le Hovland HP100 et le Nagra PL-L.
Le Néo-Zélandais s’est globalement avéré supérieur en termes de transparence pure (c’est le cas de le dire). Cela nous a étonné, notamment, par rapport au Cello qui est une référence en la matière. D’une manière générale le Pure Audio apparaît moins « coloré ». Il est plus droit, moins « joli », mais également plus naturel. En revanche, il n’arrondit pas les angles ; attention aux mariages ! Le Hovland et le Nagra sont particulièrement séduisants : ils savent exalter les extraits musicaux en les nimbant d’une luminosité superbe, quitte à parfois tricher quelque peu, avec un art consommé de l’élégance. Le Pure Audio s’y refuse, mais semble en revanche plonger plus profondément au cœur du morceau. En termes de bande passante, il apporte davantage d’extension. On note aussi un aigu plus fluide, moins « électronique » par rapport au Cello. Le médium est moins mis en avant que sur le Hovland, et dans une moindre mesure que sur le Nagra. Bref, le Pure Audio représente non pas une synthèse, mais une réponse à ces trois remarquables produits. Certes, il est moins connu, mais une écoute attentive pourra vous convaincre de ses qualités.
Voici d’autres tests parus sur Stereotype Magazine http://blog.stereotype.co.nz/2011/11/this-is-what-pureaudio-sounds-like-part-2/ et sur 6Moons http://www.6moons.com/audioreviews/pureaudio/1.html
Le préamplificateur Pure Audio Control Preamplifier est bien entendu en démonstration permanente au sein de notre showroom et devient une électronique a auditionner impérativement avant tout achat.
Un must tout simplement. Nous avons obtenus de splendides résultats avec le bloc Hegel H30 et les blocs Spectral DMA-200S Serie2 et Spectral DMA-260.
Nous vous invitons à prendre un session d’écoute autour d’un bon café juste pour aller au bout de ses rêves comme dirait JJG.
L’équipe Noir et Blanc
Ou comment aller à l’essentiel. C’est avec un indescriptible plaisir que nous vous présentons en exclusivité belge la marque Pure Audio que nous avons débusquée tel un prospecteur de pépites et qui risque de faire grand bruit.Magasin Hi-Fi - Magasin Home-Cinéma - Intégration audio-vidéo depuis 1933
Celle-ci va prendre place aux cotés de nos références actuelles, excusez du peu.
Loin des standards commerciaux, le slogan de la marque “More Music, Less Technology” est même à l’opposé de l’offre actuelle. Pas d’entrées numériques, pas de prises XLR, mais un appareil sobre et simple et oh combien musical.
Pure Audio est une marque Neo-Zélandaise récente mais ses concepteurs ont de la bouteille et ne sont pas des novices. Gary Morrison a développé et conceptualisé quelques produits phares chez. Plinius dont il était co-actionnaire. Ross Stevens est le designer à qui l’on doit les superbes lignes en aluminium chez Plinius.
La gamme se compose de trois produits. Le modèle phare de la gamme est le préamplificateur Pure Audio Control Preamplifier complété des blocs monophoniques Pure Audio Reference class A et du préamplificateur phono Pure Audio Vinyl Phono Preamplifier. Ils ont tous un schéma double mono gage d’un silence de fonctionnement optimal et dépourvu de toute perturbation.
Que dire de la finition du tout premier ordre, les électroniques sont constituées de deux épaisses plaques d’aluminium pliés pour la base et le capot. La partie supérieure à été volontairement découpée permettant une aération optimale et constituant un dessin post moderne. Ils sont tous découplés par trois pieds constitués d’une résine propriétaire, gage d’une parfaite isolation mécanique.
La connectique est très dépouillée et elle ne se contente que de l’essentiel avec. En façade on trouve uniquement un très gros potentiomètre de volume qui place l’appareil en veille et qui dispose d’un gain de 32 pas. La sélection d’entrée est automatique grâce à la détection du signal d’entrée.
Mais venons-en au point le plus important: le rendu sonore. Inutile de vous dire que nous sommes tombés sous le charme et qu’il trônera désormais fièrement au sein de notre auditorium, et ce pour longtemps.
Voici un petit compte rendu d’analyse sonore fait par le magazine français Audiofederation:
Analyse sonore
En vingt ans de carrière, nous avons eu l’occasion d’écouter bon nombre de préamplificateurs de ce calibre, et nous avons donc pu resituer aisément ce Pure Audio dans ce contexte. Il s’agit là d’un produit de grande qualité. Sa caractéristique sonore fondamentale est justement de n’avoir aucune caractéristique sonore. Voilà pourquoi notre rubrique « positionnement hiérarchique » prend ici tout son sens ; on cerne en effet beaucoup mieux ce type de produit en le comparant à ses semblables. Sachez cependant que le Pure Audio est un préamplificateur qui déploie une bande passante large, et cela sans atténuation dans l’extrême grave comme dans l’aigu. Nous avons pu nous en rendre compte à l’aide de l’excellent disque d’orgue « Récital Bach – Pierre Méa » chez Ad Vitam Records. L’extension dans le bas du spectre est bien nette, et elle s’accompagne d’un luxe de détails qui rend l’écoute beaucoup plus réaliste. Tous les bruits de fonctionnement de l’instrument, les inflexions des basses octaves, les subtilités du jeu de l’organiste s’entendent aisément. Dans le haut, les micro-informations émergent avec simplicité, et sans effet de simplification. Ces multiples composantes participent à la reconstitution d’une image réellement tridimensionnelle. La prise de son, sobre offre une vision fluide d’une œuvre difficile. Et cela, le préampli Pure Audio permet de l’exprimer totalement.
Positionnement hiérarchique
Nous avons écouté le préampli Pure Audio à l’aide d’une source numérique Orpheus (transport Zero / convertisseur One SE), de deux amplis de puissance (blocs mono Pure Audio et ampli stéréo Plinius SA 103) et des enceintes Leedh C. Câblage intégral Acoustic Zen. Inutile de dire que ce système dénote un degré élevé de résolution. Mais surtout, nous avons eu l’opportunité de comparer le Pure Audio à de remarquables concurrents : le Cello Encore, le Hovland HP100 et le Nagra PL-L.
Le Néo-Zélandais s’est globalement avéré supérieur en termes de transparence pure (c’est le cas de le dire). Cela nous a étonné, notamment, par rapport au Cello qui est une référence en la matière. D’une manière générale le Pure Audio apparaît moins « coloré ». Il est plus droit, moins « joli », mais également plus naturel. En revanche, il n’arrondit pas les angles ; attention aux mariages ! Le Hovland et le Nagra sont particulièrement séduisants : ils savent exalter les extraits musicaux en les nimbant d’une luminosité superbe, quitte à parfois tricher quelque peu, avec un art consommé de l’élégance. Le Pure Audio s’y refuse, mais semble en revanche plonger plus profondément au cœur du morceau. En termes de bande passante, il apporte davantage d’extension. On note aussi un aigu plus fluide, moins « électronique » par rapport au Cello. Le médium est moins mis en avant que sur le Hovland, et dans une moindre mesure que sur le Nagra. Bref, le Pure Audio représente non pas une synthèse, mais une réponse à ces trois remarquables produits. Certes, il est moins connu, mais une écoute attentive pourra vous convaincre de ses qualités.
Voici d’autres tests parus sur Stereotype Magazine http://blog.stereotype.co.nz/2011/11/this-is-what-pureaudio-sounds-like-part-2/ et sur 6Moons http://www.6moons.com/audioreviews/pureaudio/1.html
Le préamplificateur Pure Audio Control Preamplifier est bien entendu en démonstration permanente au sein de notre showroom et devient une électronique a auditionner impérativement avant tout achat.
Un must tout simplement. Nous avons obtenus de splendides résultats avec le bloc Hegel H30 et les blocs Spectral DMA-200S Serie2 et Spectral DMA-260.
Nous vous invitons à prendre un session d’écoute autour d’un bon café juste pour aller au bout de ses rêves comme dirait JJG.
L’équipe Noir et Blanc