Pro-Ject Gustav Mahler – Symphony N°2

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Fiche technique
Informations techniques complémentaires
Gustav Mahler – Symphony N°2
LP 1
Side A:
1. Allegro maestoso. Mit durchaus ernstem und feierlichem Aus-druck
2. Andante moderato. Sehr gemachlich
Side B:
3. Scherzo: In ruhig fliessender Bewegung
4. O Roschen rot! Der Mensch liegt in grosster Not!
LP 2
Side C:
5. Part 1: I’m Tempo Des Scherzo, Wild Herausfahrend
Side D:
5. Conclusion: Sehr Langsam Und Gedehnt
Caractéristiques :
- Philharmonique de Vienne dirigée par Zubin Mehta
- Édition limitée exclusivement pour Pro-Ject Audio Systems (seulement 2000 exemplaires disponibles dans le monde)
- 2x 180gr
- Pliage original de la couverture
- L'expérience sonore audiophile
- Remasterisé à partir des bandes analogiques originales de Decca dans les studios d'Abbey Road 1975 The Decca Record Company Limited, Londres
- Célébre le 80e anniversaire de Zubin Mehtas
- Comprend un bon pour le téléchargement gratuit d'une copie numérique
- Cast : Philharmonique de Vienne, Zubin Mehta (chef d'orchestre)
L'avis de Noir & Blanc
Pro-Ject Gustav Mahler – Symphony N°2 est un tout nouvel enregistrement audiophile en édition vinyle 2 LP.
Pour célébrer le 80e anniversaire de Zubin Mehta, Decca (Universal Music) est fier de présenter les albums emblématiques de Zubin Mehta en coopération avec l'Orchestre philharmonique de Vienne et Pro-Ject Audio Systems. Un must pour les fans de musique de l'ère analogique de retour sur des vinyles lourds. Présenté avec des illustrations originales, cet enregistrement a été soigneusement masterisé à partir des bandes analogiques originales de Decca aux studios Abbey Road.
C'est probablement le meilleur album de Mahler jamais réalisé par Mehta. Le premier mouvement est très dramatique. Mehta commence avec un tempo très tendu et vif. Mehta ne se précipite jamais, mais ne traîne jamais. Les timbales sont très bien définies, mais pas accablantes, tout au long du mouvement, ainsi que sur l'ensemble du disque. L'Andante est très bien joué. Le phrasé est merveilleux. Le Scherzo commence le mieux que j'ai jamais entendu. Deux timbales claires et nettes. Puis les deux suivantes sont plus douces, puis les deux suivantes sont encore plus douces, ce qui lui donne un effet étonnant.
Ensuite, c'est l'Urlicht. Le tempo plus lent de Mehta ne fait qu'ajouter à la beauté déchirante. Ajoutez à cela le magnifique chant d'Ileana Contrubas et vous obtenez une combinaison gagnante. Jusqu'à l'énorme finale où Mehta triomphe vraiment. Les tempi sont parfaits. Mehta construit parfaitement les points culminants, sans jamais traîner. Les cuivres jouent superbement ! Dans ce mouvement, j'ai entendu certains des cuivres inférieurs que je n'avais même pas entendus auparavant dans mes autres enregistrements. C'est très impressionnant. Quand le choeur entre, il suffit d'écouter les chanteurs de basse ! Spectaculaire. L'ensemble du choeur a un son céleste. Contrubas et Ludwig chantent avec une clarté et une beauté cristallines. On entend l'orgue très clairement. La combinaison de tempi parfaits, de magnifiques signatures et d'un jeu ultra-vituostique fait du final l'un des morceaux de musique les plus émouvants que vous ayez jamais entendus.
Cet enregistrement a tout ce que vous pouvez demander. Les tempi parfaits de Mehta, la grande signature de Contrubas, Ludwig et le Staatsopernchor de Vienne. L'Orchestre philharmonique de Vienne, en particulier les cuivres, jouent comme l'ensemble virtuose qu'ils sont.
